Texte de Chilpéric de BOISCUILLE
Marie Christine Palombit n’a pas dû rester bien longtemps dans le cabinet du psychothérapeute car elle ne respecte pas l’ordre des choses qui veut que d’un côté, il y a le psychothérapeute qui écoute et prend des notes et de l’autre le « patient » qui voit des femmes à poil. Elle, commence par dessiner à partir d’un modèle vivant qui bouge sans arrêt et qu’elle fige avec son gros pastel à l’huile noir. Elle accroche, expose, oublie puis redécouvre et interprète. Puis elle plie, bave, déchire maroufle, caviarde, buvarde, éponge, maroufle à nouveau. Les pliures pourraient nous faire penser à l’axe …